Judith Sévy passe son adolescence à Mâcon, ville aussi surnommée « la Bouche de l’Enfer » par la bande des adolescents marginaux du lycée dont elle fait partie. Photographe autodidacte, elle s’est formée à travers les appareils de son père, ancien journaliste. Celui-ci lui a transmis son premier appareil argentique par lequel elle a découvert cette technique.
Explorant les thèmes de l’intimité et du fantastique, complémentaires dans son travail, elle expérimente avec tous les appareils photo qu’elle peut rencontrer.


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